course nordique

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La race nordique était un concept racial qui trouve son origine dans l'anthropologie du XIXe siècle. Il était considéré comme une race ou l'une des sous-races putatives dans lesquelles certains anthropologues de la fin du XIXe au milieu du XXe siècle divisaient la race caucasienne , affirmant que ses patries ancestrales étaient l'Europe du Nord- Ouest et du Nord , [1] [2] [3] [4] en particulier à des populations telles que les Anglo-Saxons , les peuples germaniques , les Baltes , les Finlandais baltes , les Français du Nord et certains Celteset les Slaves . [5] [6] Les traits physiques supposés des Nordiques comprenaient des yeux clairs, une peau claire, une grande taille et un crâne dolichocéphale ; leurs traits psychologiques étaient réputés être la sincérité, l'équité, l'esprit de compétition, la naïveté, la réserve et l'individualisme. [7] D'autres « sous-races caucasiennes » supposées étaient la race alpine , la race dinarique , la race iranide , la race baltique orientale et la race méditerranéenne . Au début du 20e siècle, la croyance que la race nordique constituait la branche supérieure de la race caucasienne a donné naissance à l'idéologie du nordisme .

Avec l'essor de la génétique moderne , le concept de races humaines distinctes au sens biologique est devenu obsolète. [8] En 2019, l' American Association of Physical Anthropologists a déclaré : "La croyance en les 'races' en tant qu'aspects naturels de la biologie humaine, et les structures d'inégalité ( racisme ) qui émergent de telles croyances, sont parmi les éléments les plus dommageables de la l'expérience humaine aujourd'hui et dans le passé." [9]

Contexte

L'anthropologue français d'origine russe Joseph Deniker a initialement proposé «nordique» (signifiant simplement «nord») comme «groupe ethnique» (un terme qu'il a inventé). Il définit nordique par un ensemble de caractéristiques physiques : la conjonction de cheveux quelque peu ondulés, d'yeux clairs, d'une peau rougeâtre, d'une haute stature et d'un crâne dolichocéphale . [10] De six groupes 'caucasiens' Deniker a logé quatre dans les groupes ethniques secondaires, qu'il a tous considérés intermédiaires au Nordique : Nord -ouest , Sub-Nordic , Vistula et Sub-Adriatic , respectivement. [11] [12]

La notion d'une race nord-européenne distincte a également été rejetée par plusieurs anthropologues pour des raisons craniométriques . L'anthropologue allemand Rudolf Virchow a attaqué l'affirmation suite à une étude de craniométrie, qui a donné des résultats surprenants selon les théories racistes scientifiques contemporaines sur la « race aryenne ». Lors du congrès d'anthropologie de Karlsruhe en 1885 , Virchow dénonce le « mysticisme nordique », tandis que Josef Kollmann, un collaborateur de Virchow, affirme que les peuples d'Europe, qu'ils soient allemands , italiens , anglais ou français, appartenaient à un "mélange de races diverses", déclarant par ailleurs que les "résultats de la craniologie" conduisaient à "lutter contre toute théorie concernant la supériorité de telle ou telle race européenne". [13]

Man, Past and Present (1899) de Henry Keane montre un Danois comme exemple du type nordique

Ripley

L'économiste américain William Z. Ripley a prétendu définir une « race teutonique » dans son livre The Races of Europe (1899). [14] Il a divisé les Européens en trois sous-catégories principales : teutonique ( teutonisch ), alpin et méditerranéen . Selon Ripley, la "race teutonique" résidait en Scandinavie , dans le nord de la France , dans le nord de l'Allemagne , dans les États baltes et la Prusse orientale , dans le nord de la Pologne , dans le nord-ouest de la Russie , en Grande-Bretagne , en Irlande ., et certaines parties de l'Europe centrale et orientale , et se caractérisait par des cheveux clairs, une peau claire, des yeux bleus, une grande taille, un nez étroit et une morphologie élancée. C'est Ripley qui a popularisé cette idée de trois races européennes biologiques. Ripley a emprunté la terminologie nordique de Deniker (il avait auparavant utilisé le terme " Teuton "); sa division des races européennes reposait sur une variété de mesures anthropométriques , mais se concentrait surtout sur leur indice céphalique et leur stature .

Par rapport à Deniker, Ripley a préconisé une vision raciale simplifiée et a proposé une seule race teutonique liée à des zones géographiques où les caractéristiques de type nordique prédominent, et a opposé ces zones aux limites de deux autres types, alpin et méditerranéen , réduisant ainsi la «branche caucasoïde de l'humanité » en trois groupes distincts. [15]

Théories du début

"Expansion of the Pre-Teutonic Nordics" - Carte de The Passing of the Great Race par Madison Grant montrant les premières migrations hypothétiques des peuples nordiques.

En 1902, l'archéologue allemand Gustaf Kossinna a identifié les Aryens d'origine ( proto-indo-européens ) avec la culture nord-allemande de la céramique filaire , un argument qui a gagné en popularité au cours des deux décennies suivantes. Il a placé l' Urheimat indo-européen dans le Schleswig-Holstein , arguant qu'ils s'étaient étendus à travers l'Europe à partir de là. [16] Au début du 20e siècle, cette théorie était bien établie, bien que loin d'être universellement acceptée [ citation nécessaire ]. Les sociologues ont rapidement utilisé le concept de « race blonde » pour modéliser les migrations des composantes supposées les plus entrepreneuriales et innovantes des populations européennes.

Au début du XXe siècle, le modèle tripartite nordique/alpin/méditerranéen de Ripley était bien établi. La plupart des théoriciens de la race du XIXe siècle comme Arthur de Gobineau , Otto Ammon , Georges Vacher de Lapouge et Houston Stewart Chamberlain ont préféré parler d'"Aryens", de "Teutons" et d'"Indo-Européens" plutôt que de "race nordique". Le racialiste allemand d'origine britannique Houston Stewart Chamberlain considérait que la race nordique était composée de peuples celtiques et germaniques , ainsi que de certains Slaves . Chamberlain a appelé ces gens des peuples celto-germaniques ,et le nazisme .

"Expansion des Nordiques teutoniques et des Alpines slaves" - Carte du passage de la grande race par Madison Grant montrant l'expansion des Nordiques et des Alpines en Europe du 1er siècle avant JC au 11ème siècle après JC.

Madison Grant , dans son livre de 1916 The Passing of the Great Race , reprend le classement de Ripley. Il a décrit un type "nordique" ou "balte":

"Crâne long, très grand, peau claire, cheveux blonds, bruns ou roux et yeux clairs. Les Nordiques habitent les pays autour de la mer du Nord et de la mer Baltique et comprennent non seulement les grands groupes scandinaves et teutoniques, mais aussi d'autres peuples primitifs qui apparaissent pour la première fois dans le sud de l'Europe et en Asie en tant que représentants de la langue et de la culture aryennes." [17]

Selon Grant, la "race alpine", de taille plus courte, de coloration plus foncée, avec une tête plus ronde, prédominait en Europe centrale et orientale jusqu'en Turquie et dans les steppes eurasiennes d' Asie centrale et de Russie méridionale . La "race méditerranéenne", avec des cheveux et des yeux foncés, un nez aquilin , un teint basané , une taille moyenne à courte et un crâne moyen ou long, serait répandue en Europe du Sud , au Moyen-Orient et en Afrique du Nord . [18] [19]

Ce n'est que dans les années 1920 qu'une forte partialité pour le «nordique» a commencé à se révéler, et pendant un certain temps, le terme a été utilisé presque de manière interchangeable avec aryen. [20] Plus tard, cependant, le nordique ne serait pas coïncidant avec l'aryen, l'indo-européen ou le germanique. [21] Par exemple, le dernier ministre nazi de l'Alimentation, Richard Walther Darré , qui avait développé un concept de la paysannerie allemande en tant que race nordique, a utilisé le terme « aryen » pour désigner les tribus des plaines iraniennes. [21]

Dans Rassenkunde des deutschen Volkes (Science raciale du peuple allemand), publié en 1922, Hans FK Günther a identifié cinq principales races européennes au lieu de trois, en ajoutant la race Baltique orientale (liée à la race alpine) et la race dinarique (liée à la race nordique ). ) aux catégories de Ripley. Ce travail a eu une influence sur la publication d' Ewald Banse de Die Rassenkarte von Europa en 1925 qui combinait les recherches de Deniker, Ripley, Grant, Otto Hauser , Günther, Eugen Fischer et Gustav Kraitschek . [22]

Coon

Carleton Coon dans son livre de 1939 The Races of Europe a subdivisé la race nordique en trois types principaux, "cordé", "danubien" et "Hallstatt", en plus d'un type "néo-danubien" [23] et une variété de types nordiques modifiés par un mélange paléolithique supérieur ou alpin. [24] [25] [26] Les types trouvés dans "les endroits éloignés du centre européen actuel du nord-ouest de concentration nordique" qu'il a déterminé pour être morphologiquement nordique, ont été appelés "les Nordiques Exotiques". [27]

Coon considérait les Nordiques comme une branche partiellement dépigmentée de la grande souche méditerranéenne. [28] Cette théorie a également été soutenue par le mentor de Coon, Earnest Albert Hooton , qui a publié la même année Twilight of Man , qui a déclaré: «La race nordique est certainement une ramification dépigmentée de la souche méditerranéenne de base à tête longue. Elle mérite une distinction raciale distincte. classement uniquement à cause de ses cheveux blonds (cendrés ou dorés), de ses yeux purs bleus ou gris". [29] [28]

Coon a suggéré que le type nordique a émergé à la suite d'un mélange de "la souche méditerranéenne danubienne avec l'élément cordé ultérieur". Par conséquent, ses deux principaux types nordiques montrent une prédominance cordée et danubienne, respectivement. [30] Un troisième Coon de type « Hallstatt » aurait émergé à l'âge du fer européen, en Europe centrale, où il a déclaré qu'il avait ensuite été en grande partie remplacé, mais « avait trouvé refuge en Suède et dans les vallées orientales du sud de la Norvège. " [31]

Les théories de Coon sur la race ont été largement contestées de son vivant [32] et sont considérées comme pseudoscientifiques dans l'anthropologie moderne. [33] [34] [35] [36] [37]

Théories post-Seconde Guerre mondiale

En 1975, une encyclopédie polonaise grand public a utilisé cette image comme exemple de la "race nordique"

La théorie de la dépigmentation a reçu un soutien notable des anthropologues ultérieurs, ainsi en 1947, Melville Jacobs a noté: "Pour de nombreux anthropologues physiques, nordique signifie un groupe avec un pourcentage particulièrement élevé de blondeur, qui représente une Méditerranée dépigmentée". [38] Dans son ouvrage Races of Man (1963, 2e éd. 1965), Sonia Mary Cole est allée plus loin en affirmant que la race nordique appartient à la division caucasoïde "brune méditerranéenne" mais qu'elle ne diffère que par son pourcentage plus élevé de cheveux blonds et yeux clairs. L' anthropologue de Harvard Claude Alvin Villee Jr.était également un partisan notable de cette théorie, écrivant: "La division nordique, une branche partiellement dépigmentée du groupe méditerranéen." [39] L'Encyclopédie de Collier jusqu'en 1984 contient une entrée pour cette théorie, citant le soutien anthropologique. [40]

L'anthropologue suédois Bertil Lundman a introduit le terme "Nordid" pour décrire la race nordique dans son livre The Races and Peoples of Europe (1977) comme suit :

"La race Nordide est aux yeux clairs, plutôt aux cheveux clairs, au crâne bas et au crâne long (dolichocéphale), grande et élancée, avec un visage plus ou moins étroit et un nez étroit, et une faible fréquence du gène du groupe sanguin q. La race nordique a plusieurs sous-races. La plus divergente est la sous-race Faelish dans l'ouest de l'Allemagne et aussi à l'intérieur du sud-ouest de la Norvège. La sous-race Faelish est plus large de visage et de forme. Il en va de même pour la sous-race nord-atlantide (la race nord-occidentale de Deniker ), qui ressemble au type primaire, mais a les cheveux beaucoup plus foncés. Surtout dans les régions océaniques de la Grande-Bretagne, la sous-race nord-atlantique est également très riche en gène de groupe sanguin r et faible en gène de groupe sanguin p. Le type principal avec la distribution, en particulier en Scandinavie, est ici appelée la sous-race Scandide ou Scando-Nordide. »

Certains médecins légistes, pathologistes et anthropologues jusqu'aux années 1990 ont continué à utiliser la division tripartite des Caucasoïdes : nordique, alpin et méditerranéen, basée sur leur anthropométrie crânienne . L'anthropologue Wilton M. Krogman , par exemple, a identifié les crânes raciaux nordiques dans son ouvrage "The Human Skeleton in Forensic Medicine" (1986) comme étant "dolichochranic". [41]

Voir aussi

Références

Remarques

  1. ^ Hutton, Christopher (2005). Race et Troisième Reich : linguistique, anthropologie raciale et génétique dans la dialectique de Volk . Régime politique. p. 133. ISBN 9780745631776. Récupéré le 4 avril 2020 .
  2. ^ Hayes, Patrick J. (2012). La fabrication de l'immigration moderne : une encyclopédie des gens et des idées . ABC-CLIO. ISBN 9780313392030.
  3. ^ Porterfield, Austin Larimore (1953). Attendez la pluie battante ? . Fondation Leo Potishman . Récupéré le 15 avril 2015 .
  4. ^ Hutton, Christopher (2005). Race et Troisième Reich : linguistique, anthropologie raciale et génétique dans la dialectique de Volk . Régime politique. ISBN 9780745631776. Récupéré le 15 avril 2015 .
  5. ^ Fichier: Passage de la Grande Race - Carte 4.jpg
  6. ^ Grant, Madison (1921) Le dépassement de la grande course , New York : Fils de Scribner. p.167
  7. ^ Gunther, Hans FK (1927). Les éléments raciaux de l'histoire européenne . Traduit par Wheeler, GC Londres : Methuen. p. 3.
  8. ^ Association américaine des anthropologues physiques (27 mars 2019). "Déclaration de l'AAPA sur la race et le racisme" . Association américaine des anthropologues physiques . Récupéré le 19 juin 2020 . La race ne fournit pas une représentation précise de la variation biologique humaine. Il n'a jamais été exact dans le passé, et il reste inexact lorsqu'il s'agit de référencer des populations humaines contemporaines. Les humains ne sont pas divisés biologiquement en types continentaux distincts ou en groupes génétiques raciaux.
  9. ^ Association américaine des anthropologues physiques (27 mars 2019). "Déclaration de l'AAPA sur la race et le racisme" . Association américaine des anthropologues physiques . Récupéré le 19 juin 2020 .
  10. ^ "Deniker, J., Les Races de l'Homme" . nordish.net . Archivé de l'original le 1er mai 2008 . Récupéré le 22 octobre 2017 .
  11. ^ Deniker, J. - Les Races de l'Europe (1899); Les Races de l'Homme (Londres: Walter Scott Ltd., 1900); Les Races et les Peuples de la Terre (Masson et Cie, Paris, 1926)
  12. ^ Deniker (J.) "Essai d'une classification des races humaines, basé uniquement sur les caractères physiques" . Bulletins de la Société d'anthropologie de Paris . Tome 12 Numéro 12. 1889. pp. 320-336.
  13. ^ Andrea Orsucci, " Ariani, indogermani, stirpi mediterranee: aspetti del dibattito sulle razze europee (1870–1914) Archivé le 18/12/2012 sur archive.today , Cromohs , 1998 (en italien)
  14. ^ William Z. Ripley , dans The Races of Europe: A Sociological Study (New York: D. Appleton and Co., 1899)
  15. ^ JG (1899). "la revue des Courses de l'Europe par Guillaume Z. Ripley". Le Journal de l'Institut anthropologique de Grande-Bretagne et d'Irlande . 29 (1/2): 188–189.
  16. ^ Arvidsson, Stefan (2006). Idoles aryennes . États-Unis : University of Chicago Press . p. 143 . ISBN 978-0-226-02860-6.
  17. ^ Madison Grant, " Le décès de la grande race ", Scribner's Sons, 1921, p. 167
  18. ^ John Higham (2002). Étrangers dans le pays: modèles de nativisme américain, 1860–1925 . Presse universitaire Rutgers . p. 273 . ISBN 978-0-8135-3123-6.
  19. ^ Bryan S Turner (1998). La première sociologie de classe . Taylor et François. p. 241.ISBN _ 978-0-415-16723-9.
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  22. ^ Gunther, Hans FK, Les éléments raciaux de l'histoire européenne , traduit par GC Wheeler, Methuen & Co. LTD, Londres, 1927
  23. ^ Coon, Carleton Stevens (1939). "Supplément photographique". Les Courses d'Europe . New York : La Compagnie Macmillan. p. Planche 31. Archivée de l'original le 14/05/2010. Le terme néo-danubien a été utilisé dans ce travail pour désigner une classe générale de brachycéphales blonds ou partiellement blonds d'Europe centrale et orientale qui semblent être dérivés dans un sens racial d'un prototype nordique décordé (et donc danubien) brachycéphale par Ladogan mélange.
  24. ^ Coon, Carleton Stevens (1939). "Supplément photographique". Les Courses d'Europe . New York : La Compagnie Macmillan. p. Planche 32. Archivé de l'original le 1er septembre 2010.
  25. ^ Coon, Carleton Stevens (1939). "Supplément photographique". Les Courses d'Europe . New York : La Compagnie Macmillan. p. Planche 33. Archivé de l'original le 1er septembre 2010.
  26. ^ Coon, Carleton Stevens (1939). "Supplément photographique". Les Courses d'Europe . New York : La Compagnie Macmillan. p. Planche 34. Archivé de l'original le 1er septembre 2010.
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  31. ^ Coon, Carleton Stevens (1939). "Supplément photographique". Les Courses d'Europe . New York : La Compagnie Macmillan. p. Planche 29. Archivé de l'original le 1er septembre 2010.
  32. ^ Jackson 2001 .
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  34. ^ Sachs Collopy, Peter (2015). "Relations raciales: collégialité et démarcation en anthropologie physique". Journal de l'histoire des sciences du comportement . 51 (3): 237–260. doi : 10.1002/jhbs.21728 . PMID 25950769 . 
  35. ^ Selcer 2012 , p. S180, "Le plus inquiétant pour les anthropologues libéraux, la nouvelle génération de "pseudosciences" racistes a menacé de revenir à la respectabilité dominante en 1962 avec la publication de The Origin of Races de Carleton Coon (Coon 1962)."
  36. ^ Loewen 2005 , p. 462, "Carleton Coon, dont L'origine des races [...] a affirmé que l' Homo sapiens a évolué cinq fois différentes, les noirs en dernier. Sa mauvaise réception par les anthropologues, suivie par des preuves de l'archéologie et de la paléontologie que l'humanité a évolué une fois, et en Afrique, enfin mettre un terme à une telle pseudoscience."
  37. ^ Regal 2011 , pp. 93–94, "Carleton Coon a pleinement adopté la typologie comme moyen de déterminer la base de la différence raciale et ethnique [...] Malheureusement pour lui, l'anthropologie américaine a de plus en plus assimilé la typologie à la pseudoscience."
  38. ^ Aperçu de l'anthropologie physique , 1947, p. 49.
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  40. ^ Encyclopédie de Collier , Vol. 9, William Darrach Halsey, Emanuel Friedman, Macmillan Educational Co., 1984, p. 412.
  41. ^ "Le squelette humain en médecine légale", Wilton Marion Krogman, M. Yaşar İşcan, CC Thomas, 1986, p. 270, p. 489.
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